Il y a quelque part dans le Minas Gerais au Brésil, une église baroque au sommet d’une colline. C’est l’église du Bom Jésus de Matozinho à Congonhas. Dans la montée vers le sanctuaire, le sculpteur Aleijadinho a réalisé au XVIIIème siècle un chemin de croix...
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Il y a quelque part dans le Minas Gerais au Brésil, une église baroque au sommet d’une colline. C’est l’église du Bom Jésus de Matozinho à Congonhas. Dans la montée vers le sanctuaire, le sculpteur Aleijadinho a réalisé au XVIIIème siècle un chemin de croix grandeur nature. Il a jeté ses dernières forces dans la représentation des étapes de la Passion du Christ.
Un cheminement exaltant vers la mort… ou vers le ciel.
Des chemins de croix, il y en a beaucoup dans nos régions de tradition catholique. Une succession d’instants saisis sur le vif au cours de la dernière journée du Christ. Des arrêts sur image dans l’écoulement du temps de ce Vendredi Saint.
Est-ce en méditant devant l’une de ces montées au calvaire des bords de la Loire, qu’est née, dans l’esprit bouillonnant de Max, l’Idée? L’étincelle qui déclenche l’inspiration et donne au bras l’énergie créatrice. La Loire, ce fleuve indompté qui passe inéluctablement, Max veut l’arrêter. Arrêter le temps, arrêter l’eau qui coule
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