Le Grand Prix de Catalogne est toujours un défi particulier. Le circuit est très complet, avec des lignes droites rapides, des courbes lentes et rapides, du dénivelé et même du banking. Mais sa particularité, c’est le grip : il est très faible, et le...
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Le Grand Prix de Catalogne est toujours un défi particulier. Le circuit est très complet, avec des lignes droites rapides, des courbes lentes et rapides, du dénivelé et même du banking. Mais sa particularité, c’est le grip : il est très faible, et le phénomène de patinage est très prononcé. Si les pneus arrière patinent trop, leur température de surface augmente, ce qui réduit encore l’adhérence et accélère l’usure. C’est ce qui rend cette course si difficile à interpréter pour les équipes.
En 2024, nos pneumatiques avaient parfaitement fonctionné et les équipes avaient trouvé de bons réglages. Cette année, nous revenons en septembre et nous pouvons nous attendre à des températures plus élevées qu’au mois de mai, ce qui sera une variable supplémentaire à gérer. Cela contraste fortement avec Balaton Park, où le niveau de grip est élevé : les équipes vont donc devoir beaucoup travailler sur les réglages des motos, l’électronique et la gestion de la puissance pour s’adapter à ces condi
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