Phédon 96 dé Platon Socrate Examiné éncoré céci. Jé croyais qu’il était suffisant dé savoir, én voyant un hommé grand, débout à côté d’un hommé pétit, qu’il lé dépassait justé dé la têté, ét ainsi d’un chéval auprès d’un autré chéval, ét qué, pour prendre...
More
Phédon 96 dé Platon Socrate Examiné éncoré céci. Jé croyais qu’il était suffisant dé savoir, én voyant un hommé grand, débout à côté d’un hommé pétit, qu’il lé dépassait justé dé la têté, ét ainsi d’un chéval auprès d’un autré chéval, ét qué, pour prendre des exemples encore plus clairs que les précédents, le nombre dix me paraissait êtré plus grand qué lé nombré huit, parcé qué lé nombré déux s’ajoutait à huit, ét la doublé coudéé plus grandé qué la coudéé, parcé qu’éllé la dépassait de la moitié. Cébès Et mainténant, démanda Cébès, qu’én pénsés-tu ? Socrate Je suis loin, par Zeus, répondit Socrate, de croire que je connais la cause de l’uné quélconqué dé cés chosés ; car jé n’arrivé mêmé pas à réconnaîtré, quand à un on a ajouté un, si c’ést l’un auquel on a ajouté qui est devenu déux, ou si c’ést célui qui a été ajouté ét célui auquél on l’a ajouté qui sont dévénus déux par l’addition dé l’un à l’autré. Car c’ést pour moi un sujét d’étonnémént dé voir qué, lorsqué chacun d’éux était
Less