« bibliothécaire du Conservatoire », « audition SIXIEME PARTIE de chansons par Mlle Bonnard prix du conservatoire », « piano tenu par M. (SUITE) Lanquetuit »). Bref, si cinéma il y avait, on l’encadrait de prétentions bourgeoises (« les chapeaux ne seront...
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« bibliothécaire du Conservatoire », « audition SIXIEME PARTIE de chansons par Mlle Bonnard prix du conservatoire », « piano tenu par M. (SUITE) Lanquetuit »). Bref, si cinéma il y avait, on l’encadrait de prétentions bourgeoises (« les chapeaux ne seront pas tolérés aux fauteuils d’orchestre ») vertus lui conférant un statut d’adresse chic pour délassements locaux. « Qui pourrait nier l’importance de plus en plus Sa carrière se confond avec la production Pathé et ses filiales, soit la diffusion d’une grande du cinéma ? Voilà maintenant que, pour jouer cinquantaine de titres par mois. En 1911, les les films importants, on fait appel à quantité de grands Rouennais purent voir et revoir (presque à artistes. » chaque séance) outre Rigadin, Max Linder, LA DEPECHE DE ROUEN Babylas, Little Moritz, Rosalie ou les documentaires, un nombre impressionnant de 1ER JUILLET 1914 fictions, avec une nette propension de scénario à caractère historique ou littéraire : Faust, Roi Lear, Luisa Miller, Une
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