' • DE L'ASILE À L'ÉCOLE Jusqu'en V> LU > 1959, Les I u "' <( enfants à pouvaient travailler très Jeunes C xxeomme beaucoup d'enfants d'Aubervilliers au début du siècle, Henriette, «On portait des tabliers noirs avec un ruban de couleur différente selon la...
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' • DE L'ASILE À L'ÉCOLE Jusqu'en V> LU > 1959, Les I u "' <( enfants à pouvaient travailler très Jeunes C xxeomme beaucoup d'enfants d'Aubervilliers au début du siècle, Henriette, «On portait des tabliers noirs avec un ruban de couleur différente selon la classe. Nous étions assis garçons les mains. On recevait ensuite une petite cuillère d'huile de foie de morue et un bonbon à la menthe Marie, Marcel et Albertine commen- et filles ensembles derrière de longs pour oublier le goût de l'huile». -çent à travailler dès l'âge de douze pupitres . On dessinait, on jouait et Autre temps privilégié de la jownée , et consti- ou treize ans. Cette entrée précoce on chantait» telle cette comptine le repas où «On se régalait. Il y a dans la vie active marque souvent que les bambins récitent en se même des gosses qui préféraient tuaient la fin de l'enfance, une enfance sans jouet·ni vacances et vite pas- lavant les mains : «Vive l'eau manger à la cantine que chez eux» . • sée mais dont l'évocation d
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