Née des jeux aléatoires et éphémères de la lumière qui fuse des ouvertures et révèle la verticalité de l’architecture romane, la peinture d’Alain Alquier transcende le mouvement en liant la terre et le ciel, le « en haut et le en bas ». En quêteur de...
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Née des jeux aléatoires et éphémères de la lumière qui fuse des ouvertures et révèle la verticalité de l’architecture romane, la peinture d’Alain Alquier transcende le mouvement en liant la terre et le ciel, le « en haut et le en bas ». En quêteur de l’élévation le peintre sublime ces dévoilements laïques d’ombres verticales.
A l’aboutissement de cette démarche, A. Alquier choisit d’entreprendre un nouveau chapitre en explorant le sujet qui lentement s’imposé à lui.
À l’évidence, le sujet choisi « le cep de vigne », qu’il dénomme « Bois de vie », devient le prétexte, par ses circonvolutions et entrelacements aux prises avec fils et piquets, d’exprimer par métaphores le paradoxe simultané de l’affliction et de la félicité, le ressenti charnel, l’envoûtement du rythme végétal, et d’invoquer implicitement la symbolique de la croix, allégorie de la rencontre des contraires.
Il révèle une expression sans misère et pathos où le bois de vie devient mime allégorique de l’existe
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