EDITO La main à la pâte Quel printemps ! La sécheresse s’installait, l’herbe ne poussait pas, la couleur beige tirant vers le jaune et l’aspect tapis brosse, devenaient tendance. Quel été ! Le soleil boudait, brillait en pointillés, la pluie arrosait nos...
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EDITO La main à la pâte Quel printemps ! La sécheresse s’installait, l’herbe ne poussait pas, la couleur beige tirant vers le jaune et l’aspect tapis brosse, devenaient tendance. Quel été ! Le soleil boudait, brillait en pointillés, la pluie arrosait nos jours et nos nuits ; les herbes prenaient des allures envahissantes. Les mauvaises plus que les bonnes poussaient à grande vitesse, le long des chemins, léchant les murs des pavillons et des maisons, se permettant même d’investir le cimetière communal. La majorité des Péronnais tondaient, arrachaient, entretenaient au mieux les abords de leurs propriétés, voire même un peu plus. C e r t a i n s r e g a r d a i e n t , impressionnés, la verdure impitoyable monter en graine et disaient : mais que font-ils ? Ils, c’étaient ceux qui avaient en chargedeveilleràl’entretiendes espaces, qu’ils soient donneurs d’ordres ou exécutants. Oui,noussavonsquelecimetière netolèrepaslelaisser-aller.Nous l’acceptons, nous faisons notre mea-culpa ! Nous av
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