D
rôle de rentrée
dont on ne sait
plus si c’est celle
de Ch âtel Sarkozy ou celle de PeillonHollande… Le changement de
président et de gouvernement
a fait souffler un certain soulagement chez tous ceux qui
ont subi les attaques de la
« droite ultra...
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D
rôle de rentrée
dont on ne sait
plus si c’est celle
de Ch âtel Sarkozy ou celle de PeillonHollande… Le changement de
président et de gouvernement
a fait souffler un certain soulagement chez tous ceux qui
ont subi les attaques de la
« droite ultra libérale et décomplexée » contre les services publics.
La fin du dogme
du non-remplacement de la
moitié des partants en retraite, les annonces de sanctuarisation du ministère de
l’éducation nationale et de
milliers de créations de postes
marquent un changement de
cap après les 80 000 suppressions cumulées en cinq ans.
Pourtant la rentrée ressemble
étrangement aux précédentes : montée des effectifs
par classe, bagarre pour des
heures ou une ouverture de
classe, conditions d’accueil
dégradées pour les élèves.
Pour les enseignants stagiaires, déchargés de 3 heures
de cours, c’est un peu mieux
mais on est loin du compte
(lire p.
3).
Quant aux réformes récentes de la droite,
dénoncées largement par les
personne
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