ans toutes les bonnes
compétitions, il y a deux mitemps, un aller et un retour, un
match à domicile et un autre à l’extérieur.
La première mi-temps, la rencontre à
l’extérieur, l’aller, nous les avons joués et
nous avons remporté la victoire.
Le 6 mai,...
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ans toutes les bonnes
compétitions, il y a deux mitemps, un aller et un retour, un
match à domicile et un autre à l’extérieur.
La première mi-temps, la rencontre à
l’extérieur, l’aller, nous les avons joués et
nous avons remporté la victoire.
Le 6 mai,
François Hollande a été désigné à la tête
de l’Etat par les Français.
Il est devenu le
deuxième Président socialiste de la Vème
République après François Mitterrand.
Mais nous n’avons même pas eu le temps
de nous en réjouir qu’il faut déjà repartir
en campagne.
Un obstacle levé, un
autre se profile.
Pour filer la métaphore
sportive, il nous faut maintenant
transformer l’essai.
Il faut gagner.
La
victoire à l’élection présidentielle doit
déboucher sur une victoire aux élections
législatives.
Sur notre route, il y a bien des dangers.
L’abstention qui unira les indifférents
aux imprudents, ceux qui pensent qu’il
n’y a pas d’enjeu à ceux qui imaginent
que c’est « dans la poche ».
Comme si
jamais un scrutin avait été joué d’avance.
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