1MARS 2012
En fermant de nombreuses classes du primaire dans notre département, l’État met à
nouveau sérieusement à mal les conditions d’éducation de nos enfants.
Si cette
politique drastique ne nous touche pas cette année, nous n’en sommes pas moins...
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1MARS 2012
En fermant de nombreuses classes du primaire dans notre département, l’État met à
nouveau sérieusement à mal les conditions d’éducation de nos enfants.
Si cette
politique drastique ne nous touche pas cette année, nous n’en sommes pas moins
solidaires avec les parents d’élèves, les enseignants et les communes concernés qui
luttent pour les conserver.
Cette poursuite effrénée de réduction des emplois dans
l’Education Nationale nous affecte par contre coup quand il s’agit de remplacer des
enseignants malades.
C’est le cas à Langevin-Wallon où, depuis quatre semaines,
l’absence de deux institutrices est compensée par un seul remplaçant nous conduisant
momentanément à réaffecter une partie des missions des ATSEM en garderie
d’enfants.
Sollicitée, l’Académie déclare son impuissance, renvoyant sur la commune
une charge qui n’est pas la sienne.
Quant au secondaire, le Conseil d’Administration
du collège Pierre GIRARDOT n’a pas voté la dotation d’heures affectée par l’État
dans
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