ans quelques semaines, nous célébrerons une nouvelle fois
Noël, l’heureuse et sainte Fête de la Nativité.
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Et pourtant,
les cœurs ne sont pas à la réjouissance… L’atmosphère est
pesante, les informations toujours plus dramatiques, ici et ailleurs:...
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ans quelques semaines, nous célébrerons une nouvelle fois
Noël, l’heureuse et sainte Fête de la Nativité.
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Et pourtant,
les cœurs ne sont pas à la réjouissance… L’atmosphère est
pesante, les informations toujours plus dramatiques, ici et ailleurs:
maladiedeproches,pertesd’emploi,séparations,précarité,violence
sociale,criseéconomiqueetpolitique,catastrophesnaturelles,crises
des valeurs et des repères, individualisme rampant…, conflits qui se
succèdent sans oublier la menace d’une pseudo-fin du monde qui
exploite la désespérance ambiante… Sommes-nous arrivés au
fameuxpointderupturedelacivilisation?
Dans son angélus du 18 novembre dernier, le Pape Benoît XVI nous
donnait à comprendre cette Parole du Christ (cf.
Mc13, 31) « Le ciel
et la terre passeront mais mes paroles ne passeront pas »: « nous
savons que dans la Bible, la Parole de Dieu est à l’origine de la
création: toutes les créatures, à commencer par les éléments
cosmiques – soleil, lune, firmament – obéissent à la parole de D
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