Ma poétesse, ma brune, revient dans mon empire,
Mon amour de bonheur de ta joie de se consentir
De beaux de tes poèmes se noyer nos filtres,
Tu pourras encore beaucoup grandir.
Tu avais les dons du ciel, pour attendent
Les saisons pour que tu écrives des...
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Ma poétesse, ma brune, revient dans mon empire,
Mon amour de bonheur de ta joie de se consentir
De beaux de tes poèmes se noyer nos filtres,
Tu pourras encore beaucoup grandir.
Tu avais les dons du ciel, pour attendent
Les saisons pour que tu écrives des poésies pures,
L’hiver, pour tes quinze ans, tu te levais les nuits
Pour écrire tes poèmes et attende pour les finis
Pour épuiser tes yeux éblouissants.
Tu regardais disparaître la grande lune,
Penchée sur ta fenêtre, et fus apparaître
Le soleil blanc d’hiver,
Tu es épuisée, tes doigts écartelés,
Firent tomber ta plume d’oie sur le plancher,
Tu me prenais la paume de ma main
Mes doigts écartent unis avec les miens,
Madame il ne s’est rien passé.
ce matin là, de tes seize ans tu posais
Tes lèvres sur les miennes laissant couler
Le miel sur ta ratine puis je baisais tes yeux cernés,
Puis quand l’angélus sonnait sept heures,
Tu partais au lycée, vint le soir ta robe bleue marine
Est Salie par de l’encre de chine.
C’est comme ça que j’
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