N°1 octobre
Notre congrès intervient alors que nous assistons à 4 crises majeures, alimentaire, énergétique,
écologique et financière.
Nous sommes à la fin du
cycle de globalisation ouvert il y a 30 ans par Margaret Thatcher et Ronald Reagan, qui...
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N°1 octobre
Notre congrès intervient alors que nous assistons à 4 crises majeures, alimentaire, énergétique,
écologique et financière.
Nous sommes à la fin du
cycle de globalisation ouvert il y a 30 ans par Margaret Thatcher et Ronald Reagan, qui expliquaient
« l’Etat n’est pas la solution c’est le problème », et
prétendaient pouvoir confier l’avenir du monde au
marché.
C’est ce dogme qui, libérant les échanges
de capitaux, a conduit à la mise sous pression des
salariés par les actionnaires, sommés de réduire le coût du travail pour
maximiser les profits.
C’est ce dogme encore qui a amené à réduire en
continu les marges de manœuvres financières des Etats et leur champ d’intervention en diminuant la dépense publique et en privatisant les services
publics.
C’est ce dogme enfin qui a poussé à l’ouverture des frontières et
des marchés, refusant toute barrière au libre échange.
Tétanisée par cette
pensée unique, paralysée par la chute du mur de Berlin signant la fin d’un
modèle alterna
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