ET SI LE QUÉBEC MANGEAIT SON ST-LAURENT? Alors que la COVID-19 a ébranlé nos chaînes d’approvisionnement et révélé notre dépendance aux exportations de toutes sortes, la crise a aussi engendré un mouvement important vers la production et l’achat local. Si...
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ET SI LE QUÉBEC MANGEAIT SON ST-LAURENT? Alors que la COVID-19 a ébranlé nos chaînes d’approvisionnement et révélé notre dépendance aux exportations de toutes sortes, la crise a aussi engendré un mouvement important vers la production et l’achat local. Si les circuits courts et l’agriculture de proximité connaissent un engouement réel, en contrepartie, pratiquement rien n’est fait du côté des pêches et de l’aquaculture commerciales.
Pourquoi les poissons et fruits de mer du Québec ne se retrouvent-ils pas davantage dans nos assiettes? L’IREC promet de non seulement répondre à cette question et d’analyser la situation, mais d’avancer des propositions audacieuses pour rapprocher les Québécois·es du Saint-Laurent. Parce que, porter notre attention sur les pêcheries, c’est s’intéresser à la vitalité, voire à la pérennité des villages et communautés de notre Québec maritime!
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