Start-up BIEN ÉCRIRE C ombien sont-elles, ces start-up devenues finalement bureaux d’études ? Malgré leur envie, malgré leur po- tentiel. Soit pour avoir renoncé à in- dustrialiser leur invention, soit pour SON HISTOIRE s’y être perdu. Pas de statiques à...
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Start-up BIEN ÉCRIRE C ombien sont-elles, ces start-up devenues finalement bureaux d’études ? Malgré leur envie, malgré leur po- tentiel. Soit pour avoir renoncé à in- dustrialiser leur invention, soit pour SON HISTOIRE s’y être perdu. Pas de statiques à disposition à notre connaissance mais une pro- blématique identifiée. Déjà dans le bassin grenoblois réputé pour abri- INDUSTRIELLE ter la « Silicon valley » française. « En quelques années, j’ai pu suivre 63 projets de start-up en 4 ans dont en- viron 30 à 40 % développaient un pro- duit réclamant une fabrication, une ligne de production, observe Claire Chanterelle, directrice de la pépi- nière Tarmac au sein du Technopôle Inovallée à Meylan. Or, la très grosse majorité des start-up - 80/90 % - qui se lancent dans l’industrialisation, si elles finissent quasi par toutes y arriver, s’y cassent les dents. Sché- matiquement, là où elles pensaient mettre neuf mois, elles en mettent 18 et dépensent au final beaucoup plus que prévu. » Les chose
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