Critikat, 23 juin 2017 Le dernier festival avant l'été, par Florian Guignandon, Benoît Smith Côté Court, 26e édition Un film d’humeur Un des films les plus sidérants de ce festival n’était pas en compétition, mais dans la section « Panorama » où, dans des...
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Critikat, 23 juin 2017 Le dernier festival avant l'été, par Florian Guignandon, Benoît Smith Côté Court, 26e édition Un film d’humeur Un des films les plus sidérants de ce festival n’était pas en compétition, mais dans la section « Panorama » où, dans des genres et des formats divers, on continuait à témoigner d’un pan de création cinématographique auquel ont contribué des structures de Seine-Saint-Denis. Pour Je ne me souviens de rien, Diane Sara Bouzgarrou s’est efforcée de remonter des images vidéo qu’elle avait tournées sans but précis, vers 2010-2011, alors qu’elle traversait une phase maniaque de son trouble bipolaire, phase dont elle ne garde que des souvenirs fragmentaires partiellement révélés par les rushs. Le film se trouve, de facto et entre autres choses, un document sur cette pathologie, mais d’une forme inédite qui interpelle violemment. Des documentaires ou reportages sur les « maniaco-dépressifs », on en a déjà vu, certains estimables (Étoile bipolaire de Caterina Prof
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