La Lettre dePhilippeJuvin Soutenez mon action, et rejoignez-moi sur Le 25 janvier 2015, le parti d’extrême-gauche Syriza recueillait 36,34 % des votes aux élections législatives en Grèce. Grâce à un accord de coalition avec le parti des Grecs Indépendants...
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La Lettre dePhilippeJuvin Soutenez mon action, et rejoignez-moi sur Le 25 janvier 2015, le parti d’extrême-gauche Syriza recueillait 36,34 % des votes aux élections législatives en Grèce. Grâce à un accord de coalition avec le parti des Grecs Indépendants (accessoirement d’extrême droite, raciste et homophobe selon Daniel Cohn-Bendit) Syriza dispose de la majorité des sièges à la Vouli. Dans son discours d’investiture, le dirigeant du parti, Alexis Tsipras, a rappelé ses engagements aux sonorités populistes, à commencer par l’effacement de la dette grecque. A peine nommé premier ministre, il a entamé une tournée des capitales européennes pour tenter de convaincre ses partenaires du bien fondé de ses propositions. Alors que presque tous les Etats membres ont fait des efforts considérables pour assainir leurs finances, son discours passe mal. La Banque centrale européenne a d’ailleurs envoyé un signal clair à Athènes en suspendant le régime de faveur dont bénéficiaient les banques grecqu
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